Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32
Amoureuse d’un routierAmoureuse d’un routierEn repartant du camp de vacances où j’avais bossé tout l’été comme ouvrier à tout faire, j’avais choisi de faire du stop pour rejoindre Paris au plus vite où m’attendait un boulot. Je me postais donc à l’entrée de l’autoroute. J’ai toujours eu de la chance en stop. Est-ce mon physique androgyne un peu efféminé me faisant un peu ressembler à une fille qui suscite cette chance ? Quoi qu’il en soit, je n’attendis pas longtemps.Un superbe camion américain s’arrête auprès de moi. J’aperçois le chauffeur qui me fait signe de monter. Et là mes fantasmes les plus fous se réveillent, le bonhomme était comme je l’ai toujours rêvé : massif, baraqué et tatoué, vêtu d’un marcel noir laissant apparaître un toison de poils renforçant sa virilité. Bref, d’une séduction folle. Je tombais immédiatement sous le charme et il s’en aperçu rapidement. Le camion repartit et je m’installais confortablement. On commença à discuter d’un peu de tout, de sa vie sur la route, de sa liberté, de ses rencontres, de son goût pour les femmes, et pour les hommes…, jeunes et beaux si possible, disant cela en me jetant un regard appuyé. L’allusion était claire. Il se mit à me questionner sur ma vie, mes amours, mes plaisirs. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui avouer que j’avais eu quelques expériences avec des garçons. « Cela t’a plus ? » me demanda-t-il. A mon air il compris que la réponse était oui. « Tu me plaît bien. Cela te dirait qu’on s’amuse tous les deux ? » Je n’ai pas osé lui avouer que j’attendais cela depuis mon arrivée de son camion. Il pris donc mon silence pour un oui. « Il va falloir que je m’arrête » dit il, sinon je dépasse le temps réglementaire de conduite. Une aire d’autoroute discrète se présenta, nous nous y engageames et il arrêta son véhicule.Mets-toi à l’aise, me dit il, j’arrive tout de suite. Il descendit les stores bahis firmaları de sa cabine, nous rendant invisible pour l’extérieur.Je passe à l’arrière et je découvre son coin couchette, bien plus vaste que je ne le croyais, et commence à me déshabiller. C’est un endroit confortable, arrangé avec soin. Je découvre une série de god de différentes tailles qui provoque en moi un début d’excitation. Une petite lumière rouge tamisée donne à l’ensemble une ambiance agréable. Je suis nu, allongé sur le dos et me masturbe doucement en l’attendant. Il arrive enfin, imposant et massif, immédiatement hypnotisé par ma petite queue. Lui-même se déshabille rapidement, sans que j’ai le temps d’apercevoir son sexe, il se précipite sur moi et se met à me sucer frénétiquement, en admiration devant mon entre jambe qui le ravit. « J’adore ta queue » dit il en me léchant les couilles. Il descend plus bas, je l’aide en remontant mes fesses en prenant mes jambes dans mes bras. Sa langue sur mon périnée me donne des frissons incroyables. Je commence à gémir de plaisir. Il parvient jusqu’à mon petit trou, m’écarte les fesses et là c’est l’extase. Sa langue semble animée d’un mouvement rapide et continu qui m’électrise l’anus, en me pénétrant le plus profond qu’il peut. Il reprend son souffle en me disant : « j’ai rarement vu un cul comme le tien, un vrai plaisir ». Il est vrai que je suis assez fier de mon postérieur, qui par ses rondeurs et ses formes ressemble à celui d’une fille et appelle aux caresses et au pelotage. Ma queue se réveille enfin. Non pas qu’elle grossisse beaucoup mais sa rigidité est bien réelle, confirmant une fois de plus que seule une véritable excitation anale peut me faire bander et plus rarement éjaculer. Ce qui ne saurait tarder vu l’état dans lequel je suis, dû à l’activité pressant de mon camionneur. Subitement il s’arrête, la kaçak iddaa respiration légèrement haletant, les yeux brillants et me dit : « j’aimerais que tu mettes cela » en tendant une petite culotte blanche. « Cela te ferais plaisir, on dirait ? » dis je en mettant le sous vêtement. Me travestir m’a toujours provoquer un certain émoi, cela me permets de faire un peu la belle, ce que je m’empresse de faire devant mon camionneur, en prenant mes airs de chatte énamourée attendant de se faire couvrir par son mâle. Me voir me donner des airs de petite pute déclenche chez lui un regain d’excitation. Il se met à me lécher partout, à me titiller les tétons avec sa langue, ce qui occasionne chez moi de nouveau un regain d’excitation. De mon côté j’ai pu enfin accéder à sa bite, et là, surprise ! elle est encore plus petite que la mienne, qui pourtant n’est déjà pas bien grosse. Cela ne m’empêche de me mettre à la branler et de me rapprocher de son bas ventre pour le sucer. Vu la taille, je m’en empare entièrement et commence un lent va et viens en lui caressant les couilles, qui elles, sont franchement énormes. Je reprends mon souffle et j’admire ce spectacle insolite de cette petite bite reposant sur cette imposante paire de couilles. J’attends le moment où elles claqueront contre mes fesses. Nous sommes maintenant en 69. Ma petite culotte blanche baissée à mi cuisse. Ce qui a le don de l’exciter au plus haut point. Sa bouche s’est emparée de nouveau de ma petite queue qui débandait peu à peu. A tâtons il cherche et trouve un god qu’il introduit doucement dans mon cul tout en continuant de me sucer. Il entame un va et vient progressif et délicat qui de nouveau me provoque une belle érection. Ma petite bite toute raide dans sa bouche et un god qui s’agite dans mon cul, le plaisir est tellement total que je n’en oublie à le sucer. Estimant ma bite bien kaçak bahis dure, il me dit : « viens m’enculer maintenant ». Il se met sur le dos et remonte ses jambes un maximum, m’offrant ainsi son cul, impatient d’être pénétré. J’approche mon petit gland de son anus et je m’enfonce en lui. Visiblement le lieu a largement déjà été visité, vu la facilité de la pénétration. « Baise bien ta pute à fond » me dit il en me prenant les fesses à deux mains pour me pousser encore plus en lui. Il ahane de plaisir en me malaxant les fesses, oubliant le god fiché dans mon cul. Mon excitation est telle que je me sens venir. Il le sent aussi : « vas y défonces moi le cul, crache ton foutre » dit il en gémissant plus fort. Je me lâche enfin en inondant son cul d’une longue giclée de sperme. Je me relâche et débande très vite. En sortant de lui, je vois couler mon foutre de son cul encore un peu ouvert. « Viens me lécher »me dit il. Je ne me fais pas prier. De son côté, Il s’empare de ma queue et entreprend de la nettoyer avec sa langue. Lui lécher le cul a maintenu son érection. « A moi de te prendre, maintenant » me dit il. Docilement, je me mets en levrette et attends qu’il pénètre. Il me débarrasse du god qui était resté fiché dans mon cul et se place derrière moi et entre en moi facilement. L’engin n’étant pas bien gros, la manœuvre ne fut pas difficile. Je ressentis le même plaisir d’être pénétré que les fois précédentes ; et enfin je sentis ses grosses couilles claquer contre mes fesses, cela accentua mon plaisir. Au lieu de continuer à me prendre par les hanches et me besogner comme je m’attendais, il me força à m’allonger sur le ventre pour mieux se vautrer sur moi. En plus du plaisir de la pénétration, j’avais le plaisir délicieux d’être écrasé par un mâle qui me possédait et me dominait. Je réalisais mon fantasme de la petite femelle pleine de reconnaissance d’être traitée de la sorte. Il s’agita longuement en moi pour exploser dans un grognement de mâle satisfait. Il se retira et je vins me blottir contre lui, heureuse du plaisir que nous avions pris ensemble.Vlaadt
Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32