Le Pacte Du Trône

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Blonde

J’espère vraiment que cette invocation va fonctionner. Jouer avec les forces des ténèbres est toujours risqué et un brin incertain. Pourtant je suis sûre de moi. Le pentagramme de craie est tracé sur la pierre froide du sol. Les pièges à démon, derniers remparts de protection si jamais les autres mesures de sécurité tombent, sont posés dans chaque coin de la pièce. Les chandelles rouges sont déjà en cercle et il ne reste plus qu’à les allumer. Si je me fie à ce vieux grimoire, tout est prêt pour commencer. Il ne me reste plus qu’à aller chercher la victime du sacrifice et je peux invoquer la sombre Puissance de la ruine. J’espère vraiment que je n’ai pas fait d’erreur ou je suis morte, que ce soit par l’invocation infernale, soit par la garde royale.

***

Gaella ne semble pas comprendre ce qu’elle fait là, ligotée et bastillonnée avec moi dans un cachot du donjon. Elle semble inquiète mais me fait confiance. Franchement, en tant que première héritière du trône de Laekesia, elle devrait être bien plus méfiante. Tuer ma vierge de sœur va faire d’une pierre deux coups. Son sang pur attirera le démon et je me débarrasse de la prétendante au trône.

Je la couche au sol devant le cercle d’invocation et elle comprend enfin. Elle me regarde, suppliante, le regard apeuré, mais mon visage froid et dur lui fait comprendre que c’en est fini pour elle. Elle se laisse abattre docilement. La dague d’argent pur perce son cœur sans trop de difficulté. Alors que son sang s’écoule lentement elle me regarde pleine d’incompréhension et de… pitié? C’est elle qui va mourir et elle me regarde de haut? Comment peut-elle bien penser que je sois à plaindre dans cette histoire. Aurais-je fait une erreur? Non elle est simplement… Ha bon sang, mes yeux! Qu’est-ce qui se passe ici?

Après que mes yeux se soient remis du flash, je commence enfin à voir de nouveau. Une immense explosion lumineuse écarlate est apparue au centre de la pièce qui brille maintenant d’un éclat rouge inquiétant. Les chandelles se sont instantanément enflammées et les pièges brillent intensivement, preuve qu’ils fonctionnent à plein régime, ce qui est plutôt mauvais signe. Au centre du pentacle se trouve dorénavant une belle brunette.

Elle a de grandes ailes de corbeau qui partent de son dos. Son corps nu et perlé de sueur a une forme de sablier très marqué. Ses seins son gros, parfaitement rond et tiennent en place fermement comme un outrage à la gravité elle-même. Sa taille est fine et ses hanches larges et d’une belle rondeur sensuelle. Son duvet intime consiste en un simple petit cœur noir sur la peau blanche comme le marbre. Son visage est doux et angélique avec un sourire espiègle. Par contre ses yeux gâchent totalement le tableau qui serait autrement parfait. Deux yeux totalement blancs, sans pupille ni iris sont striés de veines rouges tel des éclairs qui partent des paupières et vont vers le centre de ses globes maudits.

– Je suis la grande Elrinieth, chevalière des enfers. Qui m’a sorti des abysses infinis? Parle mortel!

Sa voix est douce et suave, presque un gémissement, comme si elle était toujours aux portes de l’orgasme.

– Je me nomme Gweny, fille du roy Rodryval 1er, seconde… Non maintenant première héritière du trône de Laekesia. Je t’ai appelée pour te proposer un marché. Je veux le trône maintenant, mais mon père nous a eu trop jeune. Je ne veux pas attendre encore des décennies avant de prendre le pouvoir. Donne-le-moi maintenant Elrinieth fille des ténèbres! Dis-moi ton prix!

– Tu aurais simplement pu utiliser le poison ou la dague. Tu as bien utilisé les deux pour sacrifier ta grande sœur.

– Non. Il a déjà perdu deux goutteurs à cause de moi et il est bien plus méfiant dorénavant. De plus, je suis trop petite et menue pour porter un coup fatal. Je ne peux même pas m’imaginer remporter un affrontement au corps à corps. Si j’engage un assassin et qu’il se fait prendre, je suis bonne pour le bûcher. De plus, ta magie ne laissera pas de trace et on ne pourra jamais m’accuser de rien. Maintenant dis ton prix!

Elle pose une main sur ses larges hanches, un doigt à ses lèvres et elle réfléchit un moment.

– Bien, mes pauvres petits adorateurs sont persécutés par votre vilaine église. Je veux que ton premier décret soit de rendre mon culte légal et d’autoriser sa pratique. Si tu es d’accord approche du pentacle. Oui voilà, ici! Bien, je vais pouvoir faire le sortilège.

Elle incante dans une langue oubliée d’avant même la création du monde puis sort sa main du cercle et elle me prend le con! Elle passe sa main sous ma robe et déchire ma culotte de ses doigts griffus qu’elle introduit dans mon intimité sans prévenir. Ça devrait faire un mal fou, mais, en réalité, je ressens un intense plaisir. D’un coup, je deviens toute chose et je rougis en soupirant. Mais que fait-elle? Le bout de ses doigts me fouille l’intimité comme si elle cherchait quelque chose. Sans cesser de réciter des paroles étranges, elle termine de me doigter, à mon plus grand déplaisir. Mais qu’est-ce que je pense là? Je n’aime pas les femmes. Je me sens si souillée et confuse.

Elle me regarde, se lèche les doigts salis de ma mouille bursa escort puis me dit :

– Voila j’ai enchanté ton petit bijou. Le premier homme qui te prendra ta virginité en mourra dans la nuit. Il est important qu’il jouisse dans ton con ou alors la magie ne fonctionnera pas. Ne me regarde pas comme ça! Je suis un démon de la luxure, tu t’attendais à quoi exactement? Maintenant tu sais ce que tu as à faire pour le pouvoir. Si tu te dégonfles et renonces, dans ce cas choisis bien ton premier amant parce que le sort ne discernera pas la personne et il restera actif pour toujours jusqu’à ce qu’il se déclenche lorsqu’on jouira en toi. Ha ha ha!!!

Puis elle disparaît dans une autre explosion de lumière. Je me retrouve seule dans la cellule sombre avec un cadavre et ma confusion. Merde alors!

***

Ça m’a pris plusieurs mois pour trouver un plan et me motiver. J’ai profité de ce temps pour aller visiter des courtisanes afin de voir leurs techniques de séduction, observer leurs mouvements souples et gracieux, étudier leurs paroles par les intonations sensuelles de leur mot, leur vocabulaire raffiné et plein de sous-entendus et leur petite moue qui leur donne un air à la fois fragile, séducteur et hautain. Moi qui pensais que ça serait simple, je commence à peine à comprendre le jeu de la séduction. Ça ne va pas être simple, d’autant plus que je ne veux pas séduire n’importe quel homme, mais mon propre père. Même s’il me désire ardemment, il restera réticent à commettre l’inceste. De plus son mariage semble plutôt heureux et solide. Quoi qu’il soit vrai que le couple royal semble un peu plus distant. Dans quelle galère je me suis embarqué moi? Enfer et damnation!

Après quelques semaines d’étude des prostitués, je me suis fait faire des robes plus sexy, moulantes sur mon corps mince et profondément décolletés, même si je n’ai pas franchement beaucoup à mettre dans ceux-ci pour les remplir. Par contre, les coupes et les dentelles mettent mes petits seins en valeur et le corset les remonte, ce qui semble bien les grossir de près du double, ce qui reste malheureusement encore très peu. Je porte surtout le blanc qui va à merveille avec ma longue chevelure ondulée d’un blond doré et mon visage juvénile qui n’a pas changé depuis mon adolescence. Le blanc est également la couleur de la douceur, de la pureté et de la naïveté. Bien sûr je ne possède aucune de ces qualités, mais tant que l’illusion tient je donne une image moins agressive et je ne serais soupçonnée de rien. De plus les hommes aiment bien les vierges et mon apparence fait franchement très pucelle.

J’ai ensuite pris le temps de tester un peu mon charme et voir si père en est affecté. S’il ne l’est même pas, ça va vite devenir plus compliqué. Mais je reste positive. J’ai pu invoquer un succube de l’enfer, je peux séduire un homme réputé comme coureur de jupon dans sa jeunesse.

J’ai commencé à exposer mon nouveau décolleté à Père. J’ai été fort rassurée de constater qu’il y plonge le regard avec toute la subtilité qu’un homme grisonnant et perverti est capable. Il me dévore des yeux avec désir et franchement je me surprends à aimer l’attention. C’est excitant de se sentir désiré. Je fais celle qui ne voit rien et me laisse « zyeuter ». Je prends toutes les poses et positions les plus sexy, me penchant en avant en lui parlant pour révéler mon buste qui flotte dans sa prison de dentelle. Je dandine mon petit derrière a son attention à chaque fois que je le quitte.

Parfois quand il se prélasse dans son boudoir, j’arrive à y entrer et on peut passer du temps ensemble. Je fais semblant de m’intéresser à ce qu’il me dit même si je ne retiens rien du tout de ce qu’il me raconte. Lentement nous nous rapprochons. Je me pose à ses côtés et prends parfois son épaule comme appui pour ma tête. Il enlace ma fine taille de ses puissants bras d’une manière très possessive. Il me considère comme si je lui appartiens. C’est très bon signe. J’ai récemment commencé à pouvoir m’asseoir sur lui. Je peux alors parfois, et même souvent, le sentir devenir dur sous mes jolies petites fesses blanches. Il fait comme si de rien n’était alors je joue le jeu. Je fais la petite pucelle qui ne comprend rien à la sensualité et je reste assis sur sa verge. Je remue par moment pour l’exciter et me tiens immobile pour l’aguicher et le rendre fou de désir. Il m’agrippe alors la taille ce qui me rassure fort. Je suis certaine que si je n’étais pas la chair de sa chair, il m’aurait déjà prise sans même se soucier de mon consentement. Mais il se retient. Si sa verge est aussi grosse que je le soupçonne, je risque d’avoir plutôt mal pour la faire pénétrer en moi, mais j’y repenserai plus tard. C’est un souci pour la future Gweny.

Récemment j’ai commencé à donner des petits baisers à papa. D’abord sur la joue, puis une fois habitué, sur les lèvres. Des petits baisers chastes et innocents, enfin ils le seraient si ce n’était que je remue mon postérieur sur les genoux de père pour provoquer son érection. Non en fait, pas chaste du tout en y repensant. La dernière fois, il a même demandé à faire un baiser avec la langue. J’ai bien évidemment accepté et nous nous somme embrassés bursa escort bayan longuement. Les yeux fermés, nous roulions nos langues lentement et avec passion dans la bouche de l’autre. Sa barbe me piquait et me chatouillait. Il va falloir que je me trouve un mari qui se rase. D’une main il caressait sensuellement mon visage, et de l’autre, il prenait possession d’une de mes petites fesses bombées. Moi je caressais son torse musclé de ma main. Même s’il a pris du ventre depuis quelques années il garde un corps puissant et viril. Petit à petit je glissais ma main baladeuse vers son ventre puis plus bas. Je caressais son membre déjà bien raide sous ses vêtements et il soupirait d’aise dans ma bouche.

Il n’est pas encore dit qu’il va être prêt à me défleurer, mais il a déjà passé depuis longtemps la limite de ce qui acceptable de faire avec sa propre fille. Il me regarde et me tripote déjà comme si j’étais son amante et non son enfant chérie.

Un autre jour, pendant que nous nous embrassions dans la même position, Mère est entré dans le boudoir. Elle fut fort contrariée de me voir assise sur une des cuisses de Père, de nous voir nous embrasser à pleine bouche, de voir ma main qui caressait tendrement son membre et la sienne qui me malaxait les fesses. Je lui ai lancé un regard mauvais et lui ai dit moqueuse :

– Nous passions un bon moment, est-ce urgent Mère? Sinon nous aimerions que vous nous laissiez un peu. N’est-ce pas votre majesté?

Il est important que je lui fasse, non, que je leur fasse comprendre à tout deux que maintenant Père est à moi. De faire comprendre à cette sorcière qu’elle n’est plus depuis longtemps, peut-être même avant ma naissance, la favorite de Père. Dorénavant, c’est moi qui le fais fantasmer et le rend dur comme le roc. Si tout le palais voit que j’ai le plus grâce aux yeux de père, personne ne va contester ma revendication au trône.

Le roi soupira et lui dit :

– Allez nous attendre dans la chambre. Nous vous y rejoindrons juste après notre conversation.

Les yeux de la reine me lançaient des éclairs de rage. Je lui répondis avec un sourire mauvais. Je lui ai bien fait comprendre que je lui ai volé l’attention de Père. Et si elle n’a pas compris mon regard, le signe vulgaire de main que je lui ai envoyé dans le dos de Père pour qu’il ne le voie pas, ne pouvais pas être davantage limpide. Une fois quitté nous reprenions notre ardent baiser encore quelque temps. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi. Quelques minutes ou bien une heure. Je sais que quand il a quitté mes lèvres il faisait déjà nuit noire. Il me dit qu’il avait des affaires d’État à gérer, mais je sais qu’il a rejoint Mère pour se soulager de l’excitation que je lui ai provoquée, et qu’il s’imaginera le faire avec moi. Et mieux encore, Mère le sait aussi assurément maintenant. Cela me grise d’un si grand sentiment de pouvoir, un avant-goût de ce qui est à venir une fois le royaume en ma possession. Je pense bien que je vais bientôt pouvoir mettre mon plan à exécution.

Deux nuits plus tard, je suis convoquée dans la salle du trône par Père. Étrange! Habituellement il me demande plutôt dans le boudoir. Dans tous les cas, je termine les préparatifs à l’ultime soirée où la luxure de ce satire va causer sa perte et me donner le pouvoir. Je me change dans un déshabillé de dentelle blanche caché par ma robe de même couleur, la plus courte, moulante et décocté que je possède. Elle est si ouverte que mes petits mamelons sont pleinement visibles sous la dentelle transparente. Lorsque j’entre dans la salle du trône, Père est sur celui-ci occupé à lire des papiers. Je vais m’asseoir sur lui et il me sourit un peu nerveusement.

– Chérie, il faut que l’on parle! Me dit-il.

– Oui papounet d’amour? Tu veux que l’on s’embrasse comme avant-hier?

Je suis nerveuse de cet imprévu, il semble bien sérieux tout à coup. Et son membre royal ne s’est pas levé pour saluer mon petit postérieur. Que se passe-t-il?

– Non pas tout de suite. Ta mère la reine a finalement réussi à te trouver un mari, mon ange. La cérémonie aura lieu bientôt, si le Duc peut venir au palais dans le mois.

Bon sang j’aurais dû me douter que cette harpie ne resterait pas passive devant mon agression. Quelle garce! Du coup je ne regrette vraiment plus le sort que je lui ai réservé.

– Quoi? Mais vous ne pouvez pas me faire ça!

– Désolé, mais le devoir d’une princesse est de se marier. Ça a déjà été très difficile de te trouver un époux. Tu es vieille, bien plus vieille que l’âge à lequel habituellement les demoiselles nobles se marient. Tu es déjà adulte depuis un moment et tu n’es plus vierge. Estime-toi chanceuse, tu vas devenir duchesse.

– Non je ne veux pas. Je ne suis pas si vieille, vous avez épousé Mère alors qu’elle était déjà plus âgée que moi. En plus je suis encore vierge. Regardez!

Je prends sa main et lève ma robe jusqu’à mon nombril. Je porte une belle petite culotte de soie blanche avec une belle ouverture en dentelle qui expose mon intimité et des jarretelles associées. Je lui pose la main sur mon petit con et je sens ses doigts sur ma peau nue.

escort bursa Votre majesté peut vérifier que ce que je dis n’est pas faux. Que je ne suis pas une putain et que j’ai encore ma virginité.

Je ne lui demande pas. Je lui ordonne et, comme hypnotisé, il m’obéit lentement. Il entre ses doigts dans ma fente doucement jusqu’à sentir mon hymen. Je me tortille le bassin sur sa main en respirant fortement, très excitée par ce qui se produit.

– Alors voyez-vous Père? Vous pouvez encore vérifier un peu si vous le désirez.

J’aime la sensation que cela me procure.

– Vous n’avez plus à me vendre au premier prince ou duc ou je ne sais quoi. Humm, c’est bon ce que vous faites avec vos doigts, Père. Attention cependant à ne pas m’abîmer.

Je glousse, amusée mais aussi nerveuse. Tout ne se déroule pas comme prévu, mais je peux encore sauver les meubles. Je commence à caresser son membre par-dessus son pantalon comme nous avions l’habitude. Finalement je le sens enfin se dresser et répondre a mes attentions. Il était temps. Puis je sors la verge de mon géniteur et le caresse de petits mouvements de va-et-vient de la main. Comme je le redoutais, il est bien aussi massif que prévu. Mes fins doigts de princesse ne peuvent même pas en faire le tour. Il semble bien apprécier et gémit fortement. Je me réjouis d’avoir pu ramener la situation a mon avantage. Rien ne me résiste.

– Le mariage va tout de même avoir lieu chérie, me dit-il. Nos douces conversations que nous entretenions dans le boudoir nous manquerons, mais telle est la vie. Tu dois grandir et quitter le nid familial.

– Papounet, vous savez, comme tout le monde croit que je ne suis plus vierge, j’aimerais que ce soit vous qui ayez l’honneur de me dépuceler.

– Quoi?

Il semble fort surpris et gonfle encore dans ma main. Je le tiens… Littéralement en fait.

– Vous allez me vendre à un homme que je n’ai jamais vu et connu. Je ne sais même pas encore son nom. Je ne sais pas s’il sera tendre et courtois comme votre majesté. J’aimerais que ce soit vous le premier. Je sais que vous ne me brusquerez pas. J’aimerais devenir une femme avec vous cher père. Que vous preniez mon innocence. Tant qu’à avoir la réputation de catin, c’est avec vous que je veux perdre ma pureté votre majesté.

– Mais on ne peut pas le faire. Nous sommes de la même famille, c’est un pécher devant les dieux. En plus la reine pourrait nous surprendre à tout instant. Elle n’apprécierait certainement pas.

– Je me moque d’elle et je sais que votre excellence également. De toute manière, il n’y a aucune chance, Mère est en prière en ce moment et elle en a encore pour un moment.

Bon, en prière pas tout à fait. Elle prie sûrement l’évêque de cesser de la violer par contre si cela compte. En échange du soutien de l’église à mon règne, j’ai donné ma chère mère en pâture à notre bon évêque. Elle aurait dû être moins hautaine et désagréable envers monseigneur, mais il est trop tard maintenant, il a sa revanche. Il peut bien la garder comme esclave sexuelle ou la tuer, tant qu’elle n’est plus dans mes pattes, je suis bien aise. Il va par contre falloir trouver quelqu’un qui s’occupe de lui pour placer un Archevêque plus docile. Après tout, la grande église des sept doit être plus laxiste pour laisser les cultistes d’Elrinieth en paix. Je n’ose pas imaginer ce qui se passerait si je ne remplis pas ma part du contrat. Je suis certaine que ça comporterait bien des souffrances et probablement éternelles par-dessus le marché.

Je me place face à père et prends son membre pour le poser à l’entrée de mon intimité. De l’autre main, je lève ma robe pour bien exposer nos deux sexes qui se caressent lentement. Ma fente, lubrifiant son membre, le rend luisant :

– Allez votre majesté, je vous en prie, prenez-moi que je ne m’offre pas à un inconnu. Nous en avons tous deux tant envie. Vous m’avez créée de votre verge royale et je vous appartiens donc totalement. Faites de moi ce que vous voulez avant de m’exiler.

Je frotte mes lèvres toute humides contre son gland dur. Il me regarde intensément, prend ma fine taille entre ses mains et me descend d’un coup sec pour m’empaler sur sa verge. Je pousse un long cri. Il a été bien plus rude que prévu et c’est plus douloureux que je l’imaginais. Mais je suis bien trop fière pour montrer la moindre faiblesse, autre que mon cri de surprise. Maintenant c’est fait. Il doit se vider en moi et toute cette histoire est terminée. Un filet de sang coule lentement de mon sexe et viens souiller mes jarretelles blanches. Il commence à me remuer lentement sur son membre qui déforme mon petit bijou. C’est si bon et jouissant. Je ne cesse de crier de jouissance et de douleur à la fois. Il commence à s’enfoncer lentement mais rudement dans mon con. Il fait de doux va-et-vient en moi. Que c’est bon! Quelle extase, je n’imaginais pas autant. Je pince les pans de ma robe du bout des doigts pour bien soulever la jupe et exposer nos deux sexes qui s’unissent enfin. Qu’il voit bien ce qu’il fait. Qu’il voit qu’il baise sa propre fille. Qu’il voit bien le pécher qui causera sa mort. Pour que jamais dans l’au-delà il n’oublie celle qui aura causé sa perte. Ni à quel point je fus sa meilleure jouissance. A présent, plus qu’à le faire jouir en moi. Je remue mon petit cul sur son gros vit ce qui produit un joli son agréable. Je ne sais pas s’il faut que je jouisse aussi, mais ça ne va pas tarder.

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