Un amour d’esclave – Ch4 Première s&ea

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Un amour d’esclave – Ch4 Première s&eaMotivée comme elle était par son apprentissage, Eloïse a fini son mémoire très rapidement, mais sans pour autant le bâcler… J’en avais un peu peur, si bien que je lui ai demandé de me l’envoyer par mail pour vérifier qu’elle n’avait pas raconté n’importe quoi, mais non : ma nouvelle esclave avait fait un rapport parfait. Je profitais de mes lectures pour pointer quelques ambiguïtés et fautes d’orthographe, et deux jours plus tard, je lui renvoyais une version toute propre, prête à être rendue à quiconque voudrait lire cette œuvre d’art.A chaque fois que je l’avais au téléphone ou par mail, je devinais qu’Eloïse trépignait d’impatience… En général, je n’aime pas trop cela, une esclave impatiente est une esclave étourdie, mais j’avoue que j’avais une certaine anticipation moi aussi pour cette première séance. Une fois le rapport fini, comme je lui avais promis, je l’ai appelée pour l’inviter chez moi. Son portable a sonné un petit moment, puis elle à décroché, la voix pleine d’excitation« – Allo Eloïse ? C’est moi.- Bonjour Maitre !- Bonjour ma belle… Comment vas-tu ?- Très bien Maitre. Je suis très impatiente de Vous revoir mais…Vous devez Vous en douter…- C’est pour cela que je t’appelle. Je veux que tu viennes chez moi demain soir, à partir de 18 heures- Je viendrai Maitre. Autre chose que Vous voulez que je fasse ?- Oui. Tu viendras sans aucuns sous-vêtements, en prenant les transports en commun. Le métro D passe près de chez moi.- Bien Maitre. A demain !- A demain ma belle »18 heures était l’heure de sortie de la plupart des facs et lycées sur la ligne, les métros allaient probablement être bondés. La timidité de mon esclave allait être mise à rude épreuve, serrée de tous les côtés par des inconnus, sans sous-vêtements. Elle allait se sentir regardée, avoir l’impression d’être complètement nue ! Ce serait un point que j’aborderai avec Eloïse quand elle arriverait chez moi. Comment l’aura-t-elle vécu ? Je voulais déjà connaitre la réponse. Le lendemain donc, elle est arrivée chez moi… Comme je l’avais prévu, son métro était plein, et elle semblait avoir eu chaud. Quelques gouttes de sueur ruisselaient le long de ses tempes et elle sentait un peu la transpiration, l’odeur lourde des hommes qui l’avaient collée pendant son trajet. Plus excitant encore, le tissu de son T-shirt avait absorbé un peu de sa sueur, et il lui collait délicieusement a la peau, dessinant le relief de sa poitrine et de son ventre qu’elle essayait de cacher sous sa veste.« – Bonsoir Eloïse.- Bonsoir Maitre !- Tu es très excitante… Tu as du avoir du succès dans le métro !- Quelques hommes m’ont caressée Maitre. Je ne sais pas s’ils ont fait exprès, mais j’ai senti des mains sur mes fesses aussi…- J’en aurais fait autant, tu es absolument délicieuse comme cela… Dois-je dire que tu as très bien choisi ton haut ?- A vrai dire…je n’y avais pas pensé…- Tant mieux… Ce petit T-shirt moulant te change de tes chemisiers habituels. Tu montres tes formes, tu veux être regardée, mais tu ne le sais pas encore… Mais restons en là…veux-tu prendre une douche ? Je n’aimerais pas t’avoir toute souillée de sueur d’autres que moi dès notre première séance.- S’il Vous plait ?- Bien sur… Tu enfileras mon peignoir en sortant, laisse tes affaires dans la salle de bain »Eloïse est partie se doucher, et j’en ai profité pour préparer tout le matériel dont j’aurais besoin pour notre première séance. J’avais une valise sous mono lit dans laquelle je gardais mes accessoires. Mon appartement n’était pas l’endroit rêvé pour construire un donjon, je devais me passer du matériel plus volumineux : pas de croix, de chevalet ou de pilori… Mais je m’y étais fait, et j’avais trouvé des alternatives. Attacher des bracelets un peu partout sur son esclave permet de lui faire prendre des positions très inconfortables, très indécentes, très accueillantes, selon mes envies… J’en avais de toutes les tailles, pour les chevilles, les poignets, les cuisses… Un jeu de solides mousquetons en plus, et je pouvais faire ce que je voulais de mes soumises.J’entendais l’eau qui coulait dans la salle de bain depuis un petit moment. Eloïse semblait apprécier la douche que je lui avais offerte… J’aurais très bien pu aller ouvrir la porte et la regarder nue sous l’eau, et je pense même que c’était ce à quoi elle s’attendait. Mais je voulais la laisser se dévoiler d’elle-même, Je voulais qu’elle soit prête, ne pas la brusquer dès le premier jour pour ne pas risquer de la perdre aussi rapidement.Quand elle est sortie de la salle de bain, je l’attendais dans mon salon, assis sur le canapé. Sur la table basse devant moi, j’avais posé mon verre de vin blanc, le temps de lire les nouvelles du jour. J’ai plié mon journal quand je l’ai entendue rentrer dans la pièce, et je lui ai désigné l’autre côté de la table en lui souriant. Elle s’est mise à genoux, assise sur ses talons, et m’a regardé respectueusement, en attendant que je lui donne mes premières consignes. J’ai voulu profiter du beau spectacle qu’elle m’offrait : après sa douche, son maquillage était parti, et pour la première fois je la voyais telle qu’elle était nature. Quelques cernes sous ses yeux traduisaient le sommeil qu’elle avait dû sacrifier pour avancer son mémoire aussi rapidement qu’elle l’avait fait, mais sa beauté n’en n’était pas pour autant altérée. Mouillés, ses cheveux roux avaient une couleur plus foncée, presque rouge au lieu de l’orange flamboyant que je lui connaissais. Elle ne les avait pas parfaitement séchés, je voyais quelques gouttes d’eau lui couler le long des tempes, dans le cou, puis disparaitre dans sa gorge.Elle avait fermé mon peignoir avec la ceinture, mais il était suffisamment ample pour que sa poitrine soit à peine cachée par le tissu. Je la sentais un peu gênée de se savoir regardée ainsi, surement à cause de cela. La goutte d’eau a glissé entre ses seins dont je pouvais voir les courbes pour la première fois. Ils n’étaient pas très gros, comme elle me l’avait confié plus tôt, mais je les imaginais très beau, a son image. La goutte d’eau a continué son chemin sur sa peau blanche, puis elle a fini par disparaitre sous le peignoir, absorbée par la serviette, ou destinée à se perdre dans son nombrilN’ayant plus rien à suivre des yeux, j’ai reposé mon regard sur elle, et je lui ai souri. « – Je suis content que tu sois là Eloïse. Es-tu prêtes pour le début de ton initiation ?- Oui Maitre, je suis prête ! Je me sens prête à Vous servir comme Vous le voudrez.- Je n’en doute pas… Tu sais comment je travaille, tu sais ce que j’attends de mes esclaves ?- Oui Maitre- …mais je ne sais pas ce que tu attends de moi. Confie-toi à moi. Parle-moi sans réserve, sans honte. Dis-moi ce que tu espères gagner en te mettant à mon service.- J’ai envie de me sentir désirée et aimée, utile et appréciée… Je ne me sens pas bien dans mon corps, je n’ai pas l’impression de plaire, mais je sais que je Vous plais. J’aimerais güvenilir canlı bahis siteleri que Vous me le montriez pendant nos séances et que Vous m’aidiez à m’accepter comme je suis.- Je vais t’y aider, je te le promets. Et quand tu seras prête, je te montrerai que je ne suis pas le seul à te trouver désirable. Autre chose ?- Oui Maitre. Je n’ai aucune expérience sexuelle, je ne saurais pas Vous donner de plaisir, alors j’aimerais que Vous m’appreniez cela aussi, savoir…comment Vous donner du plaisir, pour que je puisse Vous satisfaire comme cela aussi.- Je saurais profiter de toi, ne t’inquiète pas… Si tu te montres sage, je te promets que tu y prendras du plaisir toi aussi.- Oh merci Maitre !- De rien ! Eloïse, ce soir, je m’engage à respecter les volontés que tu m’as exprimées : je m’engage à te donner confiance en toi, à aimer de nouveau ton corps, et a t’apprendre à donner et recevoir du plaisir. Je ferai cela par n’importe quel moyen que je jugerai approprié, mais j’accepterai que tu refuses de te plier à une séance qui ne t’apporterait rien si tu prononces le mot « rouge ». Veille à ne pas en abuser cependant. Je t’accepte comme mon esclave- Maitre, moi Eloïse je m’offre entièrement à Vous. J’accepte d’être Votre esclave, Votre chienne, Votre chose ou n’importe quel autre terme que Vous souhaitez utiliser, et je m’engage à Vous obéir sans discuter Vos ordres tant que nos séances sont dans le cadre de mes demandes, et dans le cas contraire j’utiliserai le mot « rouge ». Je ne connais pas mes limites d’endurance, je ne sais pas donner du plaisir à un homme, mais je sais que Vos enseignements me feront découvrir cela et je Vous en remercierai. Si jamais je venais à Vous décevoir de quelque manière que ce soit, je subirai la punition que Vous jugerez appropriée et je Vous en remercierai une fois administrée. « Ce soir, je me suis donnée entièrement à mon Maitre. Il sait qu’il me possède et qu’Il peut me demander n’importe quoi : je le ferai pour Le satisfaire. J’ai abandonné ma liberté pour devenir Son esclave, et je vais Le laisser m’utiliser de la manière qu’Il souhaite, aussi dégradant et humiliant pour moi que cela pourra être. Je n’ai pas à juger des sévices qu’Il va m’infliger, car je sais qu’ils m’aideront à sortir plus grande de notre relation, bien au contraire, je le remercierai ! »Une fois nos vœux faits, je me suis levé et j’ai fait signe a Eloïse de me suivre. Hésitant un moment, elle a choisi de me suivre en marchant sur les genoux, préférant ne pas se relever sans y avoir été invitée. Je l’ai amenée au milieu du salon, dans un endroit espacé, pour lui donner ses premières leçons :« – ma belle, cette première séance ne sera pas la plus agréable de toutes pour nous deux, je le sais. Pourtant elle est nécessaire, car je vais t’apprendre tout ce que tu as à savoir pour être une esclave bien élevée : comment te comporter en ma présence, comment porter la fierté de ton Maitre quand il n’est pas avec toi, et bien d’autres choses encore.- Je suis prête à apprendre Maitre !- Je sais. Le plus important est la position de la soumise, la position d’attente dans laquelle tu te tiendras dès que tu seras en ma présence. Assieds-toi sur tes talons. Pointe des pieds sur le sol. Bien, comme ça. Maintenant écarte tes cuisses, le plus possible mais sans écarter tes pieds l’un de l’autre. »Eloïse suivait toutes mes instructions avec la plus grande attention, sans remarquer son peignoir qui s’ouvrait lentement à mesure qu’elle bougeait. De temps en temps, elle me lançait un regard interrogateur pour me demander si elle était correctement installée, et la suite de son travail.« – C’est bien comme cela. Maintenant redresse toi lentement. »Je me suis installée juste en face d’elle pendant qu’elle montait doucement. Une fois son visage juste à la hauteur de mon entrejambe, je lui ai appuyé sur les épaules pour l’arrêter. Elle m’a regardé de nouveau, attendant une suite, je ne sais laquelle.« Mes yeux se trouvaient juste en face de la braguette de Maitre, et je pouvais deviner la forme de Son sexe sous Son pantalon. Il avait l’air déjà bien excité, était ce moi qui arrivais à Le troubler comme cela ?Je l’ai regardé fixement. Je n’attendais qu’une chose : qu’Il ouvre sa braguette et m’ordonne de Le sucer. Je n’avais pas sucé un homme depuis deux ans, je n’étais plus sure de savoir comment faire, mais je faisais confiance a Maitre pour qu’Il s’en charge, quitte à utiliser ma bouche pour Se donner du plaisir tout seul. »« – Mets tes mains derrière ta tête. Tiens-toi un peu plus droite. Bombe la poitrine. Voilà, très bien. Ne bouge plus maintenant. La position ne t’est pas trop inconfortable ?- Non Maitre, c’est bon.- Bien. A partir de maintenant, dès que tu m’entends t’ordonner de te tenir, tu prendras cette position. Le jour où je voudrai me servir de ta bouche, je claquerai des doigts, et tu l’ouvriras immédiatement.- Bien Maitre ! »Je fis quelques essais. Je claquais des doigts, et sa bouche s’ouvrait prête à accueillir mon membre que je sentais gonfler peu à peu. Je lisais dans ses yeux qu’Eloïse n’attendait que ça. Elle voulait déjà que je l’utilise, mais elle n’était pas prête. Je lui avais à peine donné quelques consignes. Elle devrait travailler plus que ça avant que je ne lui laisse s’occuper de moi.Je l’ai laissée dans sa position, et je suis retourné m’asseoir sur mon canapé. Quand je l’ai regardée, elle s’était tournée dans ma direction, sans avoir rien changé de sa position.« – Je ne t’ai pas demandé de me faire face Eloïse.- Pardon Maitre, je pensais…- je ne te demande pas de penser, je te demande d’obéir. »Elle n’a rien osé dire pour ne pas me froisser un peu plus« – reste comme tu es maintenant. Si je te dis de te reposer, tu te contentes de croiser tes mains dans ton dos, tu resteras dans cette position tant que je ne t’aurais pas demandé de te lever.- Compris Maitre.- Et si jamais tu devais perdre l’équilibre, que ce soit de ta faute ou moi qui te pousse, tu tomberas en arrière, et tu relèveras ton ventre de sorte à t’exposer complètement en guise de punition.- Dois-je essayer maintenant ?- Non, tu n’as pas perdu l’équilibre, je n’ai pas de raison de te punir pour rien. Repose toi…- Merci Maitre »J’ai pris mon verre de vin et j’en ai bu quelques gorgées en parcourant des yeux ce que son peignoir m’avait dévoilé en s’entrouvrant. Je pouvais maintenant apercevoir le galbe de ses seins, mais toujours pas ses tétons, et je dois avouer que la curiosité commençait à me submerger… Eloïse avait les yeux respectueusement fixés droit devant elle, mais ses joues rouges me disaient qu’elle savait que je la regardais.Le bas de son ventre était toujours caché par le peignoir, mais je pouvais voir maintenant son nombril serré entre les quelques replis de graisse qui lui déplaisaient tant… Je ne trouvais pas ça repoussant, presque le contraire… et puis cela me donnait quelques idées pour la suite… Eloïse güvenilir illegal bahis siteleri commençait à être mal à l’aise sous mes regards et j’ai cessé de l’observer pour ne pas la troubler outre mesure. J’ai terminé mon verre de vin et je me suis levé puis je suis allé me placer derrière elle. Sans prendre le temps de regarder dans le décolleté du peignoir, j’ai ramené les deux bouts l’un contre l’autre pour la recouvrir complètement. Surprise, elle a levé les yeux vers moi, se demandant pourquoi au contraire je ne l’avais pas déshabillée.J’ai posé mes lèvres sur son front, et je suis passé devant elle. Je me suis baissé à son niveau, et je l’ai regardée en souriant.« – Je lis ta question dans tes yeux ma belle… Pourquoi ? C’est à toi de franchir ce pas pour me montrer que tu as envie d’aller plus loin. Je vais aller préparer notre repas, je serai dans la cuisine. Quand tu seras prête, tu enlèveras le peignoir, et tu viendras m’y retrouver. Je te laisse un peu de temps pour te préparer.- Merci Maitre.- A tout de suite»« Quand Maitre s’est levé vers moi, je pouvais voir le désir dans Ses yeux. Je m’étais faite à l’idée qu’Il allait me mettre nue pour pouvoir enfin profiter de mon corps offert, mais je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’Il fasse exactement le contraire. Mais Maitre ne voulait pas brusquer le jeu en me forçant la main et je Lui en étais infiniment reconnaissante. Bien sûr que je voulais passer à la suite, et Il le savait, évidemment. Il voulait juste que je commence à faire mes preuves. Je L’ai entendu passer à la cuisine, et j’ai posé mes mains sur mes épaules, pour pouvoir me débarrasser de mon peignoir et aller m’offrir pleinement a Lui pour le remercier de sa confiance.Je n’ai pas hésité longtemps avant de me déshabiller, mais plus à Le rejoindre. Est-ce qu’une fois nue je Lui plairais toujours autant ? Je n’en n’étais pas sure.Finalement, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai marché vers la cuisine. En chemin, je suis passé devant un miroir, et je me suis arrêtée pour me regarder dedans. Décidément, je n’aimais vraiment pas mes seins. Mais après tout, Maitre semblait tellement m’aimer que peut-être Il aimerait ça aussi ?Je suis entrée dans la cuisine sans faire de bruit »« – Maitre ? »Je me suis retourné, et j’ai regardé une Eloïse complètement nue, qui me faisait face. Je lui ai fait signe de s’approcher, et elle s’est avancée lentement vers moi, hésitant à chaque pas ? Je lui ai tendu la main, et elle l’a attrapée rapidement. J’ai serré la sienne, et elle m’a souri en rougissant un peu des joues.Je la trouvais absolument parfaite. Maintenant que je pouvais les voir ses deux petits tétons m’appelaient à les prendre entre mes doigts et les caresser, surtout qu’ils avaient déjà l’air bien durs : Eloïse avait l’air toute excitée de se trouver nue en face de moi pour la première fois. Ses seins n’étaient donc pas très gros, effectivement. Elle ne serait pas capable de me donner du plaisir en lovant mon membre entre ses deux globes, mais ils étaient quand même adorables tels qu’ils étaient.Elle avait bien quelques bourrelets a la taille, mais rien de déplaisant comme elle se décrivait. Des poignées d’amour que je me ferai un plaisir de saisir le moment venu ou je la monterais, un appel aux caresses. Quand a son sexe, je ne pouvais voir que son pubis très touffu, son épaisse toison rousse dissimulait ses lèvres.Tout en lui souriant, j’ai relâché sa main, et j’ai caressé sa joue avec la mienne. Elle a fermé les yeux pour profiter de mes caresses et a poussé un soupir de plaisir non dissimulé. Elle a penché sa tête sur le côté, lovant son cou autour de mon avant-bras.« Tu es belle. Les mots de Maitre résonnent encore à mes oreilles aujourd’hui. Jamais depuis des années on ne m’avait parlé comme ça, jamais je ne m’étais sentie aussi aimée qu’en ce moment insolite. Moi, esclave de mon Maitre, entièrement nue face à Lui dans sa cuisine, chose que je n’aurais jamais imaginé m’arriver !Et là, Il pose sa main sur ma joue brulante de honte de me dévoiler ainsi, et Il me dit qu’Il me trouve belle. Mon cœur a fondu pour cet Homme, et je suis tombée à Ses genoux. J’ai pris Sa main dans les mienne, et je L’ai recouverte de baisers pour le remercier.Quand j’ai relevé les yeux vers Lui, Il me regardait toujours avec Son sourire bienveillant. Il m’a demandé de me tenir pour pouvoir terminer de cuisiner, et j’ai eu toutes les peines du monde à lâcher sa main.»J’ai sorti une pâte de la casserole et j’ai soufflé lentement dessus pour la refroidir. A côté de moi, Eloïse me regardait avec ses yeux embués de larmes de bonheur. Quand j’ai claqué des doigts pour lui faire ouvrir la bouche, elle a cru que j’allais lui donner mon membre à sucer, mais elle a vite déchanté avec un petit sourire. Je lui ai tendu la pâte qu’elle a croquée avec précautions pour ne pas se bruler. Elle a hoché de la tête pour me dire que c’était bon.J’ai égoutté les pâtes, préparé une sauce a la viande, et j’ai servi deux assiettes que j’ai emmenées au salon, moi sur le canapé, elle toujours à genoux en face de moi de l’autre côté de la table basse. Nous avons mangé en silence, sans nous regarder. Puis une fois fini, j’ai mis les assiettes de côté, et nous avons repris notre discussion« – Comment te sens tu Eloïse ?- Mieux que ce que je ne pensais…- Ca ne te dérange pas d’être nue ?- Si bien sûr, mais…on dirait que Vous m’aimez comme cela, alors ça m’ennuie un peu moins !- Nous pourrons aller tellement loin toi et moi si tu raisonnes comme cela !- je veux Vous plaire Maitre, c’est tout ! Dites-moi ce que je peux faire pour Vous rendre heureux, et je serai heureuse moi aussi.- approche ma toute belle, viens à côté de moi… Là, tiens-toi maintenant ! »Elle s’est immédiatement mise dans la position que je lui avais enseignée, mains derrière la tête, et un sourire heureux aux lèvres. Du bout des doigts j’ai corrigé les quelques défauts de sa position, effleurant sa peau douce pour la première fois, sans pour autant qu’elle n’en a l’air troublée.« – Ton corps est un plaisir pour les yeux Eloïse… C’est un spectacle dont je ne pourrais jamais me lasser !- Oh, merci Maitre, merci !- J’aimerais que tu t’habitues à vivre nue chez toi, et chez moi. Peux-tu le faire pour me faire plaisir ?- Oui, je vais essayer ! Mes voisins seront contents !- J’en suis sûr ! Dis-moi… te sens tu prêtes à aller un peu plus loin dès maintenant, ou bien veux-tu en rester là et essayer de t’habituer à être nue en ma présence ?- Je…je veux bien continuer, pourquoi pas.- Sure ? »Elle a hoché de la tête pour me dire qu’elle était prête à pousser le jeu un peu plus loin. Alors j’ai posé ma main sur son torse, juste entre ses seins mais sans chercher à les toucher. Son cœur battait la chamade et sa respiration s’est accélérée. Puis j’ai poussé délicatement pour la faire basculer en arrière et elle a perdu l’équilibre. Elle s’est souvenue de mes consignes en rougissant, güvenilir bahis şirketleri et en se rattrapant sur ses mains, elle s’est forcée à relever le bassin. Si ses joues n’avaient pas virées à un rouge vif, j’aurais pensé qu’elle ne ressentait aucune gêne à s’exhiber comme elle le faisait.Elle avait les jambes grandes ouvertes face à moi, mais elle ne pouvait pas les cacher sans tomber. Alors elle conservait sa position, aussi inconfortable soit elle, pour me laisser la regarder. Je regardais son visage un peu rougi par la honte d’être exposée ainsi, puis je passais à son roux. Dans une position comme ça, je pouvais nettement distinguer ses lèvres gonflées, toutes gorgées de sang et le rose de ses muqueuses, déjà luisantes d’humidité !« Sa main sur mon ventre m’a envoyé des décharges électriques dans tout le corps.- assieds-toiJ’ai posé mes fesses sur la moquette, sans chercher à refermer mes cuisses. Maitre avait déjà eu tout le loisir d’observer mon intimité, pourquoi Le contrarier maintenant ? Néanmoins je me sentais de plus en plus gênée à être exhibée ainsi ? Je levais les yeux au ciel et respirais profondément pour tenter de faire retomber ma honte- Tu te caresses ?- Des fois…- Souvent ?- Non- Pourquoi ?- Je n’y prends pas de plaisir- Caresse toi pour moi ma toute belle…»Comme Il me l’avait demandé, je me suis mise à me masturber lentement devant ses yeux… C’était la première fois que je faisais cela devant quelqu’un, mais la situation m’excitait plus qu’elle ne me dérangeait. Maitre était toujours assis dans son canapé en train de lire, et moi j’étais couchée par terre a Ses pieds, la main posée sur mon entrejambe, a me caresser pour Lui.Sous ses yeux, je découvrais une sensation nouvelle… Je sentais une boule grossir dans mon bas ventre. Des décharges électriques parcouraient mon sexe quand mes doigts l’effleuraient, et pour la première fois de ma vie, j’ai gémi de plaisir en me caressant. J’y suis allé avec plus d’entrain, en glissant mes doigts mouillés entre mes lèvres, puis finalement osant le pousser plus loin à l’intérieur de moi.Maitre ne me regardait plus… Il était concentré sur Sa lecture, mais je n’ai pas arrêté de me toucher… Malgré Son air absent, je devinais qu’Il écoutait mes gémissements de plaisir qui se faisaient de plus en plus insistants. D’un seul coup, la boule a explosé, et elle s’est répandue en moi, jusqu’au bout de chacun de mes membres… Je n’étais plus très loin de l’orgasme et je me suis mise à me doigter comme une folle. Mon corps se préparait à se tendre comme un arc avant de se relâcher, mais Maitre en avait décidé autrement.-Stop »Je devinais la frustration dans le regard d’Eloïse. Je venais de la stopper net dans son plaisir, son premier orgasme. Elle me regardait même avec un petit soupçon de déception, de tristesse, voire de colère… Je l’ai laissée reprendre ses esprits un petit moment, puis je lui ai demandé le sens de la leçon que je venais de lui donner.« – je… Je dois avoir Votre permission pour prendre du plaisir Maitre, c’est cela ?- exactement… Tu m’appartiens, donc ton plaisir m’appartient, et c’est à moi de décider si tu le mérites- Je comprends Maitre- Bien. Recommence. »De nouveau elle s’est caressée. Ses mouvements d’abord hésitants me montraient qu’elle connaissait mal son corps, mais elle gagnait vite en assurance, repérant les endroits qui la faisaient vibrer de plaisir, ceux qui la faisaient à peine soupirer, … Je découvrais son corps en même temps qu’elle en observant son visage déformé par le plaisir qu’elle était en train de se donner. Son clitoris semblait hypersensible vu les mouvements frénétiques de sa main sur son bouton.Elle ne mit pas longtemps avant d’être reprise de quelques spasmes, et ayant bien retenu la leçon que je lui avais faite, elle m’a sagement demandé la permission de jouir entre deux gémissements de plaisir.« – Non. Arrête-toi »Cette fois encore elle a grogné de déception en se forçant à abandonner son plaisir. Elle a poussé encore quelques petits gémissements, puis s’est tournée vers moi en me regardant avec des yeux suppliants. Je voyais le plaisir qui s’éloignait dans ses yeux, et quelques larmes commençaient à perler.« – Tes orgasmes seront tes récompenses Eloïse, rien d’autre… Penses-tu déjà mériter une récompense ?- Non Maitre… Que dois-je faire d’autre pour Vous satisfaire ?- Tiens-toi, et écoute-moi… Je veux que tu sois excellente, une parfaite esclave sexuelle. Pour te dresser, je ne peux me servir que de deux choses, des promesses de récompenses, et des menaces de punition… Je n’aime pas l’idée de devoir te punir, alors je vais te récompenser à la hauteur de tes performances, mais il faudra que ces récompenses soient rares pour que tu ne t’y habitues pas trop… A partir de maintenant ma toute belle, il t’est rigoureusement défendu de jouir sans ma permission, est ce que tu m’as compris ?- Oui Maitre !- Mais si tu me décevais à cela, je n’aurais pas d’autre choix que de te punir… Je n’ai pas grand-chose ici à part un martinet et une cravache, mais crois-moi, c’est bien assez pour te faire passer l’envie de me désobéir.- Je ne Vous désobéirai pas Maitre !- On verra. Le jour où tu seras capable de retenir ton plaisir, tu seras devenue une esclave que beaucoup de Maitres rêvent d’avoir. Mais maintenant, je pense que tu mérites quand même une petite récompense pour ton vœu de soumission et tes performances de la soirée… – Oh merci Maitre !- Va t’asseoir face au miroir du couloir, et caresse toi en te regardant… Je veux t’entendre jouir »« Je suis allé dans le couloir à quatre pattes, et une fois face au miroir dont m’avais parlé Maitre, j’ai cherché une position pas trop inconfortable. Finalement, je me suis appuyée dos au mur, les jambes écartées face à la glace, et j’ai recommencé à me caresser. Cette fois, ce n’était plus le regard de Maitre que je sentais sur moi, mais le mien, et étrangement j’en étais beaucoup plus gênée… Je voyais mes doigts disparaitre entre les poils de mon pubis et en ressortir dégoulinant de liquide, et pour la première fois de la soirée, je me suis sentie exposée…J’étais morte de honte de me voir dans une telle position, mais en même temps ça m’a excitée comme jamais. Pour me tester et voir mes limites, j’ai poussé le jeu un peu plus loin, et j’ai dégagé mon clitoris de la forêt de poils qui l’entourait. Mon bouton me semblait énorme, et à chaque fois que je passais un doigt dessus, j’avais l’impression d’être en feu.Vu l’état dans lequel j’étais, je n’ai pas mis longtemps avant de jouir, et mon orgasme a explosé en moi d’un seul coup… C’était la sensation la plus forte de toute ma vie, j’avais l’impression d’être en feu, de fondre littéralement. Du salon, Maitre a pu entendre mon râle rauque d’outre-tombe alors que je voyais mon corps tout entier secoué de convulsions à travers mes paupières mi closes…J’étais encore dans les vapes quand Maitre s’est approchée de moi. Il m’a regardée, étendue à Ses pieds, brisée par le plaisir qu’Il avait bien voulu me laisser prendre, et il s’est baissé sur moi. Il a passé Sa main sur mon front dégoulinant de sueur et m’a recoiffée délicatement en me félicitant…-Quand j’en aurai fini avec toi ma toute belle, tu seras câline comme une chatte, et docile comme une chienne… »

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